Je dis et avec l'aide de Dieu : ce sont : le vin, le sang répandu, et tout ce qui annule les ablutions par sa sortie du corps humain : comme l'urine et les excréments, la chair de la bête morte avec du sang, sa peau, l'urine de ce qui n'est pas consommé : comme l'homme, le loup et la souris, les excréments de la poule, du canard et de l'oie, les salissures du chien, le fumier des chevaux, des mulets et des ânes, les excréments des vaches, les crottes des moutons, les excréments des bêtes sauvages et leur salive, et cela est appelé une impureté grave ; en raison de la rareté de ce qui est excusable parmi elle, et non en raison de la manière de sa purification ; car cela ne varie pas selon la gravité ou la légèreté. La quantité considérée pour l'impureté grave : c'est ce qui dépasse la taille d'un dirham - qui est le poids d'un dirham, c'est-à-dire un mithqal pour les substances épaisses, et la surface d'un dirham qui est de la largeur de la main pour les substances légères, et la largeur de la main est la largeur de la paume concave, qui est à l'intérieur des articulations des doigts - quant à la taille d'un dirham ou ce qui est en dessous, c'est excusable ; car le peu est unanimement excusable, donc la taille est basée sur le dirham ; car le lieu de l'ablution est mesuré par cela, et ils ont trouvé inacceptable de mentionner l'arrière-train dans leurs assemblées, alors ils l'ont désigné par le dirham ; et parce que la nécessité englobe l'arrière-train et d'autres, il est excusé pour éviter la gêne, et c'est grave en raison de l'absence d'opposition à la preuve de son impureté : comme le sang et d'autres choses pour lesquelles il n'y a pas de contradiction entre deux textes. Voir : Al-Wiqayah et son explication par Sadr al-Shari'ah p.132, et Kanz al-Daqaiq 1: 73, et Dieu sait mieux.