Le soupir annule la prière, sauf si la personne est malade et ne peut s'empêcher de gémir et de soupirer ; car dans ce cas, son gémissement est comme l'éternuement s'il en résulte des lettres. Selon Ibn Abbas, que Dieu soit satisfait de lui, le Prophète (paix et bénédictions sur lui) a dit : « Le souffle dans la prière est une parole », dans le Musannaf d'Ibn Abi Shayba 2: 67, et le Musannaf d'Abd al-Razzaq 2: 189, et sa chaîne de transmission est authentique. Voir : I'la al-Sunan 5: 51. Et selon Abu Huraira, que Dieu soit satisfait de lui : il a dit : « Le souffle dans la prière est une parole », dans le Musannaf d'Abd al-Razzaq 2: 189. Voir : Fath Bab al-Inaya 1: 302.