Réponse
Je dis, et que Dieu accorde le succès : la liberté n'est pas une condition ; l'itikaf est valide pour le serviteur avec la permission de son maître. S'il a fait un vœu d'itikaf et que son maître l'en empêche, il doit le rattraper s'il est affranchi, et Dieu sait mieux.