Je dis, et avec l'aide de Dieu : il est permis de remplacer la attelle par une autre après l'avoir essuyée, et il n'est pas nécessaire de réessuyer celle qui a été mise à la place ; car cela est comme le lavage de ce qui se trouve en dessous, et cela a été annulé par le premier essuyage, tout comme si l'on a essuyé sa tête puis rasé. Il est préférable de réessuyer sur l'attelle, en raison de la similitude de substitution, contrairement à l'essuyage sur les chaussons qui est annulé par leur retrait. Voir : Maraki al-Falah et le commentaire de Tahaoui dessus, p. 136-137, et 'Umda al-Ra'aya 1 : 119, et Dieu sait mieux.