Je dis et avec l'aide de Dieu : leur part est annulée s'il n'y a pas de personnes dont les cœurs doivent être apaisés. Ce sont ceux qui se sont récemment convertis à l'islam et nous avons besoin d'apaiser leurs cœurs pour la foi, ou ceux qui étaient mécréants et nous voulions apaiser leur cœur pour l'islam, ou ceux qui étaient mécréants et nous voulions éloigner leur mal de l'islam. C'est ce qui s'est passé à l'époque d'Omar t, car Omar t n'a pas donné aux cœurs à apaiser ; faute de la condition d'apaisement. En effet, d'après Oubaïda, il a dit : « 'Ayyina ibn Hissn et Al-Aqra' ibn Habis sont venus voir Abou Bakr t et lui ont dit : Ô calife du messager de Dieu, nous avons une terre marécageuse sans pâturage ni utilité. Si tu vois bon de nous la donner, peut-être pourrions-nous la cultiver et la labourer. » Il a mentionné le récit sur l'octroi de terres et le témoignage d'Omar t et son annulation. Puis Omar t a dit : « Le messager de Dieu r vous a apaisés alors que l'islam était alors humilié, et Dieu a honoré l'islam. Allez donc et efforcez-vous de votre mieux, que Dieu ne vous accorde pas de bien si vous paissiez. » Dans les Sunan Al-Bayhaqi Al-Kabir 7 : 20. En effet, la part des cœurs à apaiser reste et n'est pas tombée. Si la condition d'apaisement est remplie, ils recevront leur part, sinon non, tout comme si la condition de pauvreté n'est pas remplie chez une personne, elle ne mérite pas la zakat. Et lorsque la condition de pauvreté est remplie chez celui qui mérite, il reçoit de la zakat. Et Dieu sait mieux.